Jeremy Allen White, je l’avoue, je veux m’habiller comme vous cet automne.

Jeremy Allen White, je l’avoue, je veux m’habiller comme vous cet automne.

En ce moment de l’histoire, il y a beaucoup de choses qui ne vont pas bien et il est difficile de voir le monde avec des yeux pleins d’espoir. Mais parfois, il vaut la peine de souligner les progrès sociaux (et la force du collectivisme humain) pour ne pas tomber dans un négativisme écrasant qui fait partie de notre quotidien. Et presque toujours la consolation se trouve dans l’art et souvent dans la culture pop. Un espace où l’avant-garde converge, permettant de détruire nos idées préconçues.

L’une des plus courantes, lorsque nous parlons de mode, mais aussi lorsque nous pensons à ce qu’est un homme ou à ce qu’est une femme, a trait à la façon dont nous nous habillons : si je suis un garçon, je ne peux pas porter de jupe ; si je suis une fille, je ferais mieux de ne pas porter de vêtements amples. Mais ce doute qui surgissait parfois lorsque nous entrions dans un magasin, lorsque nous ne demandions pas si un vêtement était pour homme ou pour femme, est totalement obsolète. Aujourd’hui, nous nous habillons comme nous le voulons, selon nos goûts, et nous combinons sans hésiter les tendances, les motifs et les dessins.

Je ne surprendrai donc personne en avouant que cet automne, j’ai envie de m’habiller comme le gars de la mode : Jeremy Allen White. Lorsque je l’ai découvert dans L’Ours J’ai beaucoup aimé ses choix stylistiques (même s’il joue un personnage et que ce n’est pas lui), mais lors de ses promenades au marché, où il s’approvisionne en fleurs, beaucoup de fleurs, il nous montre qu’il est aussi un modèle pour trouver nos tenues préférées de la saison. Parce qu’il est le mélange parfait du classicisme preppy, leggerezza et un film d’Éric Rohmer.

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