La semaine de la mode de New York se poursuit avec un éventail de défilés qui semblent se concentrer sur un modèle commun. Les taille basse est actuellement l’un des paris les plus répétés sur les podiums, et pas seulement dans des formats de pantalons tels que ceux de Monse ou Christian Cowan. Nous parlons ici d’une jupe qui, au-delà de sa longueur, descend de quelques centimètres pour se situer bien en dessous du nombril, comme un bon « bumster » de McQueen. Nous compilons ici les versions que nous avons vues ces jours-ci.
La jupe deux pièces taille basse
Le vêtement le plus récurrent dans les présentations new-yorkaises est une jupe comme celle portée au début des années 2000. Elle se définit par sa longueur, jusqu’aux chevilles ou un peu au-dessus, et se décline dans des tissus typiques du tailoring. C’est ainsi qu’elle est conçue par des marques telles que Jason Wu o Proenza Schouler, combinés à des hauts plutôt courts qui laissent le ventre à l’air. Helmut Lang opte pour la combinaison inverse, avec un chemisier asymétrique et une jupe ajustée aux hanches par une fine ceinture. La jupe taille basse peut également être portée comme une jupe en tricot. Eckhaus Latta actualise l’idée de l’ensemble tricoté avec un haut assorti dans les mêmes tons de marron et de rose.
L’asymétrique ou avec des ouvertures
Une autre idée qui revisite la jupe taille basse est l’asymétrie. On la retrouve au niveau du torse, avec des surjupes, mais la plus courante est une longue ouverture qui laisse apparaître la jambe de manière suggestive. C’est ainsi qu’elle est conçue Anna Sui ou Christian Sirianoen version satin ou même disco.
La version mini jupe taille basse
Christian Cowan propose l’idée d’un total look avec un ensemble deux pièces en paillettes à bords irréguliers étoilés. Le top court est associé à une micro-jupe taille basse, qui couvre juste le dessous des fesses. Des gants en tulle, des chaussures en cuir verni et un boa sont le contrepoint d’une coiffure bouffante, très années 60.